Tiens, pendant qu'on y est, au lieu de faire un vrai texte, je vais faire une petite liste de mes ennuis, un par un, dans l'ordre chronologique, ça va être marrant et puis ça me permet de vider un peu mon sac :

- je me lève à 7h20 au lieu de 6h50, avec 2h de sommeil et le cerveau embrumé, je sens déjà que la journée va être formidable dans le genre catastrophe.

- j'attends le bus 10 min sous la flotte avec l'eau qui commence à me transpercer, puis en plus l'eau de pluie c'est jamais chaud hein.

- j'arrive, premier cours, maths, évidemment j'y comprends que dalle aux équations mais au moins il fait chaud

- suite des cours, bien longs, bien lourds, je compte les secondes, puis arrive midi. J'arrive à avoir un bus bondé pour la moitié du trajet, puis je finis à pied sous la pluie encore.

- je mange, puis repars en cours. Je manque mon bus, et me retape les 20 minutes jusqu'au collège sous la pluie encore. Là je suis plus humide, je suis trempée.

- contrôle d'Allemand soi-disant facile, je me suis ramassée en beauté, j'ai bien tout raté comme il faut, cool.

- cours d'Anglais, j'ai comme par hasard oublié mon Workbook que je trimballe depuis 1 semaine pour rien dans mon sac, et là, premier jour où on l'utilise, on avait encore rien fait : je l'oublie. Ca me vaut 2 points en moins sur une note, trop cool, comme m'a dit la prof : "tant pis pour toi"... moi qui voulais passer de 18 à 18.5 de moyenne, bah c'est raté, merci au revoir.

Vive les cours moi j'dis.

Franchement c'est la galère, en plus le mauvais temps met tout le monde de mauvaise humeur... puis mon maquillage coule sous la flotte, c'est pas classe.

Bon j'ai pas le courage de partir en détail sur l'exosé sur le complexe d'Oedipe que j'ai à faire pour demain ...... je vais déjà tenter de comprendre certains trucs comme :

" […] La formation de la conscience morale est intimement liée au complexe d’Œdipe qui appartient à l’inconscient. Si l’on voulait soutenir ce paradoxe que l’homme moral n’est pas seulement beaucoup plus immoral qu’il ne le croit mais aussi beaucoup plus moral qu’il ne le sait, la psychanalyse dont les données fondent la première partie de cette affirmation, n’aurait rien non plus à objecter à la seconde partie ".

Merci Freud, je sais pas ce qu'on aurait fait sans vous ....... enfin si je sais : on aurait compris de quoi on parle.

mot d'la fin:

courage ...... fuyons

(oui je sais pas compter jusqu'à 2)